Equipe de Recherche sur les Rationalités Philosophiques et les Savoirs (ERRAPHIS)
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Séminaire "Marx aujourd'hui"
Publié le 2 février 2017 – Mis à jour le 20 novembre 2017
du 6 février 2017 au 13 mars 2017
Bâtiment Gai Savoir salle 144
18h-20h
Toulouse - 56 rue du TaurBâtiment Gai Savoir salle 144
Il y a un siècle, la révolution russe ébranlait le monde
Séminaire « Marx aujourd’hui »
Université Jean Jaurès/Mirail, Toulouse
2nd semestre année 2016-2017
Emmanuel Barot
De 1917 à 2017
Il y a un siècle, la révolution russe ébranlait le monde
Université Jean Jaurès/Mirail, Toulouse
2nd semestre année 2016-2017
Emmanuel Barot
De 1917 à 2017
Il y a un siècle, la révolution russe ébranlait le monde
2ère séance
Lundi 06 FEVRIER 18H-20H
(bâtiment Gai Savoir salle 144)
Lundi 06 FEVRIER 18H-20H
(bâtiment Gai Savoir salle 144)
La séance introductive a présenté les motifs du séminaire et est revenue sur les racines de la révolution de février 1917. Après avoir, avec Lénine et Gramsci, présenté la notion de « crise révolutionnaire » la 2e séance plongera dans la chronologie des « Cinq journées », du 23 au 27 février, lors desquelles « l’irruption des masses » a conduit à la chute du tsarisme.
Suivre les faits n’a de sens qu’à l’aune des questions qu’ils font surgir, on s’interrogera en particulier sur les trois suivantes : i) ce fut une révolution essentiellement « spontanée » lit-on souvent : faut-il entendre par là une révolution sans « direction », sans partis politiques, sans précédent et sans traditions de luttes, bref, surgissant quasiment de nulle part ? ii) Quel fut le rôle de la violence dans le processus d’affrontement des masses au régime agonisant ? iii) Comment s’est alors posé le rapport entre revendications « démocratiques » et revendications ouvrières et paysannes ? Chemin faisant nous serons amené-e-s à aborder la situation inédite de « double pouvoir » (gouvernement provisoire / soviets) née de cette première révolution de 1917, à laquelle la 3e séance sera spécifiquement consacrée.
Les 3e et 4e séances se tiendront respectivement les lundis 27 février et 13 mars
Suivre les faits n’a de sens qu’à l’aune des questions qu’ils font surgir, on s’interrogera en particulier sur les trois suivantes : i) ce fut une révolution essentiellement « spontanée » lit-on souvent : faut-il entendre par là une révolution sans « direction », sans partis politiques, sans précédent et sans traditions de luttes, bref, surgissant quasiment de nulle part ? ii) Quel fut le rôle de la violence dans le processus d’affrontement des masses au régime agonisant ? iii) Comment s’est alors posé le rapport entre revendications « démocratiques » et revendications ouvrières et paysannes ? Chemin faisant nous serons amené-e-s à aborder la situation inédite de « double pouvoir » (gouvernement provisoire / soviets) née de cette première révolution de 1917, à laquelle la 3e séance sera spécifiquement consacrée.
Les 3e et 4e séances se tiendront respectivement les lundis 27 février et 13 mars